DÉPART – Un nouveau Départ
On ne sait pas être sénior, on ne nous l’a jamais appris -L‘Organisation Mondiale de la Santé situe l’âge sénior à 60 ans. Nous sommes 21% environ de la population française à l’être et, la plupart du temps c’est à ce moment là que l’on doit faire de nouveaux choix de vie. Pas d’empressement ! Il s’agit d’engager sa vie à venir dans des chemins souvent définitifs qui concernent les occupations, le lieu de vie et la manière de gérer sa famille et son couple.
CONSEILS ANTI-VIEUX
– Faire ce que bon vous semble, en couple, sans plus prendre garde aux préjugés soit conserver des liens amoureux éternels vous en avez la chance, vivre sous le même toit sans pour autant vivre une vie amoureuse soudée, soit divorcer, si le couple bat de l’aile. Les couples se mariaient pour vivre ensemble jusqu’à ce que la mort les sépare, mais de nos jours, nombreux sont ceux qui décident de ne pas vieillir ensemble et voient dans le divorce une liberté satisfaisante ou le début de nouvelles histoires d’amour.
– Re décorer son lieu de vie, le sécuriser, déménager pour plus petit (les enfants ont quitté le foyer) et mieux adapté au vieillissement à venir, changer carrément d’horizon pour aller vivre à la campagne, au soleil ou à l’étranger où la vie est souvent moins chère ?
– Le changement de rythme et de chemin étant parfois déroutant et/ou éprouvant, l’enthousiasme est la première chose à préserver.
– Côté santé, des fragilités se font sentir : avec vive-les-seniors.fr, vous apprendrez à garder le contrôle sur votre état de santé, notamment grâce à « la prévention, incontournable, tous azimuts, la meilleure façon de pallier les atteintes dues au vieillissement, qui peuvent être multiples et variées et toujours inattendues !
TÉMOIGNAGE
Bernard Barral, 65 ans « Quand j’ai eu 50 ans, ça m’a angoissé ; je me disais, je vais sur mes 60, et quand eu 60 j’ai me suis dit maintenant je vais sur mes 70 ! Là j’ai décidé d’en rester là, de rester jeune, peut-être parce que ma mère m’agaçait à répéter : « j’ai peur de vieillir » ! Après avoir eu droit à ma retraite qui ne me permettait que de vivre chichement, j’ai enchaîné les emplois de serveur, dans la bonne humeur ! Venu le temps où cela devenait plus dur, démoralisant même avec le covid. 46 ans à Paris, la pollution, j’en avais marre. Alors que j’avais des amis qui s’étaient retirés au Portugal, je me suis dit pourquoi pas moi. Je suis célibataire, je suis brouillé avec mon frère, je ne parle plus ni à ma fille, donc ni à mon petit-fils, ni à mon fils – après une violente crise d’ado à 19 ans- alors allons-y ; en deux temps trois mouvements c’était fait, ça a été le déclic, j’ai donné mon préavis, plié bagages et parti en l’espace de 2 mois ; à 65 ans, j’y suis très heureux, je ne regrette pas : un pouvoir d’achat à la hausse, un vaste appartement très peu couteux, des gens sympathiques, des ballades en voiture à la découverte de Lisbonne, de superbes régions, des monastères. On mange au resto pour 9 euros, à 3mn de la plage.
Peut-être retrouverais-je un petit job qui m’aidera à apprendre la langue. Un regret, ma mère sur laquelle je veille maintenant à distance, mais je la ferai venir dès que je pourrai.Et puis bien que je sois échaudé par 2 divorces, pourquoi ne pas retrouver une compagne, mais chacun chez soi, je veux rester libre, écouter de la musique à 2H du matin si le coeur m’en dit… »
LE SAVOIR VIVRE, APRÈS 60 ANS
« On se fait du vieillissement, naturellement inéluctable, une image austère et rébarbative ! En oubliant les bons côtés de ce passage obligatoire. Source de sérénité, il apporte son lot de joies d’autant que les avancées de la médecine ont adouci ses maux, celles de l’esthétique corrigé son apparence. Aux termes de « vieillard » ou « vieux », s’est d’ailleurs substitué dans les années 80, celui de senior, moins anxiogène et plus courtois puisqu’il est également réservé aux aînés des jeunes sportifs ou aux internes en médecine, munis de leur thèse et autorisés à exercer ! Même si l’espérance de vie a considérablement augmenté, nous ne sortirons pas vivants de cette aventure, mais nous avons l’opportunité de faire cette « route à l’envers » en sénior heureux. De quels bienfaits, de quels plaisirs l’homme et la femme jouissent-ils dans leur âge senior ? Comment empêcher l’âge de prendre de l’emprise sur la joie de vivre ? Voici la chronique annoncée d’une tranche de vie heureuse ! »